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Photo du rédacteurGilles Ossona de Mendez

Maitre de nos émotions - Master of our emotions


Quand nous demeurons dans nos émotions négatives, c’est comme si nous nous enfermions nous même dans une prison virtuelle.


Après 27 années passées en prison, Mandela avait bien compris qu’il ne pourrait pas être totalement libre s’il restait dominé par la haine et la colère. Il a alors pris consciemment la décision de se défaire de ces émotions négatives faute de quoi il n’aurait jamais pu poursuivre sa destinée et accomplir sa mission d’une manière aussi libre, apaisée, authentique et efficace.


Lorsque nous restons sous l’emprise d’une émotion négative, c’est un peu comme si nous offrions au monde extérieur le pouvoir de nous contrôler. Par exemple, demeurer dans la rancœur, cela revient en quelque sorte à donner à celui envers qui nous avons du ressentiment le pouvoir de nous maintenir dans cette émotion.


Se libérer demande avant tout de prendre conscience de ces émotions, de les ressentir, de comprendre pourquoi elles sont en nous, et de les accepter afin de décider de s’en défaire ou pas. Ce qui est clef, c’est de réaliser que cette décision n’appartient qu’à nous. Il est souvent plus confortable d’accuser les autres ou bien les contraintes extérieures de nous mettre en colère ou de nous rendre triste. Mais au bout du compte, demeurer ou non avec mon émotion négative reste ma propriété et rien ni personne a le pouvoir de le gérer à ma place. C’est à moi de décider !


When we stay with our negative emotions, it is as if we had decided to lock ourselves in a virtual prison.


After 27 years in jail, Mandela had well understood that he could not totally be free as long as he was dominated by his hatred and his angriness. He then took the decision to leave these negative emotions behind, otherwise he would not have been able to pursue his destiny and accomplish his mission in such a free, peaceful, authentic and efficient manner.


When we remain into negative emotions, it is a bit like offering to the outside world the power to control us. For example, remaining with our bitterness is, in a certain way, giving the power to the person who hurt us to maintain us into that emotion.


Getting out of the negative emotion requires to be conscious of its presence, to feel it, to understand why it is there and to accept it in order to be able to decide to get rid of it or not. The key is to realize that this decision belongs to us only. It is quite often more comfortable to accuse the others or external factors for making us angry or sad. But ultimately, remaining or not with my negative emotion is my decision. Nobody or nothing else has the power to do it instead of me.



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